Récit d’une vie antérieure

avril 9, 2017

Texte de Marianne Leitao protégé par des droits d’auteur (copyright ©)

 

marianne

Marianne Leitao ©2017

Je publie un article incidemment trouvé sur Internet (publié par la revue Brusselslife en 2015) rendant hommage à Victor Hugo lors de son exil à Bruxelles, ainsi que d’autres écrivains à l’époque « afin de penser librement »… et où, il publie « les Misérables »…
Le plus stupéfiant, cet article est publié en 2015, et en 2011, soit au début de mes ressentis je suis en pleine communication avec Victor Hugo par écriture inspirée
Et que je retrouve des dates reprises dans l’article (1851, 35 ans, 1853 etc…) et des signes…

J’écoutais en même temps j’écrivais des annotations rapidement (vous trouverez les dessins ci-dessous), c’était télépathique comme de vous à moi, comme s’il était à mes côtés.
Je vois des « oui » « non », car je posais beaucoup de questions.

Aujourd’hui, de mémoire, j’ai retenu l’intensité de ce moment que je ne peux oublier, il y avait beaucoup d’Amour partagé, c’est surtout ce sentiment qui permet les belles communications.

Ces faits et dates, auparavant je n’en avais jamais eu connaissance ! n’ayant jamais approfondi en détail la vie de Victor Hugo ou s’y rapportant à ce point !
Le connaissant surtout par le film les « Misérables » et quelques histoires.

Il m’a raconté une vie « comme communément, on dirait aujourd’hui une vie antérieure »

J’apparais sur le dessin, je me suis reconnue au grain de beauté sur la joue, à chaque fois le crayon insistait sur ce point. J’ai joué un rôle dans sa vie.

J’ai vu un endroit, une maison, la campagne.

Mais, il y a eu un drame dans la vie de Victor Hugo, il s’agit d’un enfant, issu de ce couple, il était âgé de 7 ans.
Mais rassurez-vous, il n’en porte plus le poids ni moi-même, c’était le motif de sa venue entre-autres, ainsi que de celle d’un fils.
Tout est arrangé depuis, comme un karma épuré.
L’enfant que j’ai eu en communication presqu’en même temps, baigne dans l’Amour maintenant, pour mon plus grand bonheur également.
Il m’a donné son prénom.

Dessin Marianne Leitao
©2017

Pour en revenir et il m’a fallu « presque 5 ans », grâce à cet article pour « tout comprendre » !
Mais le temps n’est pas important, ce qui compte c’est d’avoir compris.

Et de remarquer que deux semaines avant d’être tombée sur cet article au hasard de recherches sur Internet, je crée cette collection-ci.

Comme dans un puzzle, on dirait que tout se met en place.

Sur les dessins, vous ne le reconnaîtrez peut être pas, c’est souvent comme cela (car ils n’ont plus d’identité là haut !) mais ils donnent des éléments pour se faire reconnaître…
ici ils sont flagrants, la barbe, le costume…. (alors que j’ai jamais sur dessiner les personnages masculins !)
Le trait était très très rapide pour faire le personnage, surtout le costume, mais je n’avais qu’à me laisser guider.
On peut également remarquer les vêtements de l’époque.

Marianne Leitao
©2017

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Extrait de l’Article où vous trouverez quelques dates…

L’un des écrivains les plus célèbres de la littérature française a fait de Bruxelles sa terre d’asile durant plus de 500 jours.

Honte à la rédaction de BrusselsLife.be. Notre site ne comptait jusqu’à ce jour aucune mention de la vie bruxelloise de Victor Hugo. Il était grand temps de corriger le tir. Nous vous emmenons donc sur les traces de l’auteur des Misérables à Bruxelles

Si vous aviez vécu à Bruxelles entre 1851 et 1871, vous auriez peut-être eu la chance d’apercevoir Victor Hugo à la fenêtre de sa chambre Grand-Place, de le surprendre en train de s’échapper de l’appartement de sa maîtresse dans les Galeries Saint-Hubert ou encore d’assister à l’avant-première des Misérables au Théâtre Royal des Galeries…
Honte à la rédaction de BrusselsLife.be.

Notre site ne comptait jusqu’à ce jour aucune mention de la vie bruxelloise de Victor Hugo.

Il était grand temps de corriger le tir.
Nous vous emmenons donc sur les traces de l’auteur des Misérables à Bruxelles. 500 jours d’exil

La toute première fois que Victor Hugo découvre Bruxelles, il y vient au bras de sa maîtresse Juliette Drouet en tant que touriste. Il a 35 ans et est déjà connu pour son œuvre Notre Dame de Paris.

En cette fin d’été 1837, la ville lui fait forte impression : « L’Hôtel de Ville de Bruxelles est un bijou, une éblouissante fantaisie de poète tombée de la tête d’un architecte.
Et puis, la place qui l’entoure est une merveille. »

La Cathédrale Saints Michel-et-Gudule achève de le faire tomber sous le charme de la ville.

Quinze ans plus tard, c’est notre capitale que choisit l’écrivain pour échapper au régime français. Il fuit Napoléon III.

En tant que défenseur de l’égalité sociale, de la démocratie et de l’abolition de la peine de mort, il devient ennemi du nouvel empereur qu’il déteste et qu’il surnomme « le petit ».

Le 12 décembre 1851, il s’installe pour 7 mois sur la Grand-Place de Bruxelles sous le faux nom de Jacques Firmin Lanvin. Il s’exile ensuite dans l’île anglo-normande de Jersey où il reste 10 ans avant de reprendre le chemin de notre capitale en 1861 pour y publier son œuvre maîtresse : les Misérables.

Suite en suivant le lien :
http://www.brusselslife.be/fr/article/bruxelles-terre-d-exil-de-victor-hugo


La rubrique de Marianne Leitao

avril 2, 2017

Chers lecteurs je vous présente Marianne qui est mon amie et qui a la particularité de pratiquer l’écriture automatique. A cet effet une rubrique lui est consacrée sur Néoconscience. Elle se fera un plaisir de répondre à vos commentaires. Elle publiera à souhait ici. Souhaitons lui la bienvenue c’est une personne qui a toute ma confiance, une belle âme.

Cordialement,

Era


Voici sa présentation

Marianne Leitao
©2017

Bio

Résumé
Je vous présente ce parcours récent qui a transformé ma vie, à la suite de cela, je suis devenue presque spontanément clairaudiente (j’entends), clairvoyante (je vois) et clairsentience (je ressens).
Introduction
Bonjour tout le monde,
Je fais de l’écriture semi-automatique inspirée et intuitive  (c’est à dire que j’entends en même temps que j’écris) cela s’est produit presque instantanément il y a 4 ans, suite au décès de mon mari en juin 2010.
En septembre de la même année, soit 3 mois après son départ, un samedi matin, il devait être aux environ de 11h.
Je suis dans le salon, je regarde sa photo dans le cadre posé sur le meuble. Une pensée me vient, « je ne peux pas rester comme ça sans lui parler ».
Je prends une simple feuille de papier à ma disposition, un crayon, et debout,  sur le coin de la table,  je veux lui dire « bonjour ».
Je n’ai pas eu le temps de réfléchir, le crayon que je tenais en main s’est mis à faire des lignes très très serrées énergiquement de part et d’autre de la page, je retiens surtout la force et la rapidité !. Je ne contrôlais rien.
Je l’ai pris pour un signe de sa part.
Devant cet engouement, je ressentais de la joie surtout, enfin j’avais trouvé le moyen d’entrer en communication avec mon mari, ou plutôt lui pouvait se communiquer par ce moyen.
Les jours qui ont suivi, j’ai pu lui poser une question qui était essentielle et la plus importante à mes yeux, je lui ai demandé « s’il m’aimait encore ?’ et spontanément « un petit cœur  s’est dessiné ♥ », j’étais à ce moment-là, la plus heureuse au monde.
Par après, très rapidement je suis passées du dessin aux écrits.
J’ai reçu également une très belle phrase que je n’oublierais jamais « tu es essence, vie éternelle ».
Après réflexion, je savais bien que cela ne se passait pas sur terre.
A partir de ce moment-là,  j’ai entrepris de nombreuses recherches sur la Spiritualité, un domaine que je ne connaissais pas.
J’ai reçu un enseignement Catholique dans l’enfance, dont la Base reçue m’a certainement aidée à une plus grande compréhension sur l’ouverture du cœur et de la conscience.
Au vu de la facilité avec laquelle j’obtenais des messages, j’ai invité des internautes à me poser des questions sur tous domaines et sans limitation, l’avenir de la terre, son passé, les défunts etc… etc…
(Et même sur les pyramides !, les hommes se seraient fait aider également pour leur construction « par les forces magnétiques du moment », je suppose que ça devait un savant calcul qu’ils faisaient à l’époque).
C’est simple mais il fallait y penser également.
Les réponses obtenues étaient immédiates, et souvent inconnues pour moi.
J’ai poursuivi en ce sens.
—-
Avant cela, j’avais une vie plutôt matérialiste, la famille qui comptait le plus pour moi, le travail, la maison, et je ne voulais pas croire à l’au-delà, à toutes ces histoires sordides que j’avais pu entendre dans mon enfance, ça n’entrerait pas chez moi !
J’ai vécu avec mon conjoint et mes enfants le meilleur que la vie peut offrir sur terre, tout mon amour était pour eux et l’est encore.
Malgré tout ce chemin de vie avec les épreuves que j’ai dû y passer, était certainement nécessaire, comme un enseignement pour comprendre et être ce que je suis aujourd’hui.
Afin de ne pas me perdre, et très casanière !, au décès de mon mari, j’avais de nouveau programmé ma vie jusqu’à mon dernier souffle; je poursuivrais celle-ci comme s’il était toujours à mes côtés.
Mais « la Vraie Vie » m’a rattrapée, comme pour me faire comprendre que ce n’était pas celle que j’avais vécu auparavant et que je faisais fausse route en programmant de nouveau celle-ci !.
J’ai pu demander un jour, toujours par écriture automatique, pourquoi tout cela m’arrivait, on m’a répondu en deux mots : « pour aider ».
Le message était clair, en pensée « j’ai accepté », et depuis je suis en route vers cette grande et merveilleuse aventure…
Ma vie fut transformée, j’ai été amenée à rencontrer beaucoup de monde même au-delà des frontières, les aider la plupart du tems d’une souffrance latente par un message d’un guide ou d’un être cher.
Tout ce que j’ai vécu avant semble ne plus exister ou effacé, je ne peux plus m’y remettre, c’est comme un renouveau, ma façon de penser, de voir dans ce nouveau chemin.
Les belles phrases et messages que je reçois en écriture ou simplement par la pensée, je les prends personnellement comme un enseignement, car « nous ne cessons d’apprendre » et je les transmets ici et ailleurs, comme cela m’a été demandé…
Merci pour ce beau cadeau que la vie m’a offert…
Je vous aime… ♥♥♥

Texte de Marianne Leitao protégé par des droits d’auteur (copyright ©)


Thierry Rodhan – Les Walk-in

février 12, 2017

Si la vidéo ne fonctionne pas cliquez ici
Ajoutée le 21 août 2015
Texte qui accompagne la vidéo

C’est un phénomène trop peu connu dans le paranormal mais il est pourtant bien réel.
Le phénomène des Walk-in est en deux mots un échange d’âme à âme.
Vous avez toutes et tous changer au moins une fois de véhicule, de voiture voire encore de vêtements.
Cet échange subviendrait lors d’un choc, d’un accident ou autre moment assez grave et c’est à ce moment là que votre corps, qui ne l’oublions pas reste un véhicule, va changer de….propriétaire.
Thierry Rodhan un spécialiste de la question nous en parle dans cette vidéo….

Alexis

Musique d’intro : Alexis Lambin
Musique de fond : The Inner Devil

Source :
http://www.lessentiersdureel.com


Connexions multidimensionnelles – Causes et effets- Par Anne Duflot

janvier 28, 2017

Conférence Dimanche 18 mars 2017, 14H30 :
Anne Duflot donnera une conférence dans le cadre des activités de l’association Résonance Spirituelle: http://blog.resonancespirituelle.fr

ma-conf-resonannce-18032017

En partant de son expérience personnelle de connexion avec une autre dimension, elle partagera, dans un premier temps, ses réflexions suscitées par une maturation de celle-ci concernant le processus de connexion qu’elle a vécu, la nature des entités et la dimension via laquelle elles l’ont contactée, la teneur des messages qu’elle a ainsi reçus et le processus de leur formulation en mots; ceci après avoir décrit ses prédispositions à ce type de contact, et les facteurs déclencheurs qui ont été à leur origine.

Elle dégagera ensuite l’impact initiatique produit par ces contacts sur sa perception de notre plan d’existence terrestre, de notre structure holistique, du sens de la vie, et notamment sur sa prise de conscience de notre multidimensionnalité.

Les places étant limitées, il est possible de les réserver :

Association Résonance Spirituelle

18, rue du Docteur Lemaire

59140 Dunkerque

Téléphone : 06.48.38.63.85


TEXTOS (SMS) : ILS ENGENDRENT DES ONDES CÉRÉBRALES JAMAIS VUES !

août 31, 2016

Source : Science et vie

Photo : SXC.hu

Photo : SXC.hu

Par Roman Ikonicoff Le 06 juil 2016 à 17h36

Les mutants sont parmi nous ! Car voici une étude qui vient d’identifier des ondes cérébrales d’un nouveau type, jamais vues auparavant, chez 20% des usagers des textos (SMS) – nous tous (ou presque).

L’idée que la technologie numérique modifie profondément notre écosystème cognitif n’est donc plus une hypothèse. Et selon l’étude, cela concerne non seulement les jeunes qui sont nés le doigt sur l’écran (les « digital natives ») mais tout le monde, quel que soit l’âge et le genre.

Des ondes cérébrales nommées « rythme de textotage

Les chercheurs du Mayo Clinic College of Medicine et de l’université de Floride ont en effet découvert un nouveau mode dans la dynamique cérébrale qu’ils ont nommé « rythme de textotage » (texting rhythm).

En voici la définition technique, plutôt absconse : rythme thêta paroxystique généralisé monomorphique à prédominance frontocentrale à 5-6 Hz (et on en passe)…

Ce phénomène s’est manifesté chez 20% des volontaires

C’est en procédant à des mesures d’ondes cérébrales par électroencéphalographie (EEG) pendant une longue période (observations durant 16 mois) sur 129 personnes saines et atteintes de formes d’épilepsie que les auteurs de l’étude sont tombés sur ce phénomène : des trains d’onde électriques dont la forme ne coïncide avec aucune autre connue (figure ci-dessous).

Ils ont ainsi constaté que chez les volontaires sains, entre 16% et 20% présentaient ce rythme si particulier, de manière reproductible : il s’exprime durant l’écriture d’un texto sur smartphone ou tablette et peut durer entre 2 secondes et plus de 10 secondes.

Mais qu’est-ce donc que cela ?!

Inconnu dans les annales, ce rythme de textotage (RT) ne s’est également pas manifesté quand les volontaires ont été soumis à d’autres activités sollicitant l’attention, la concentration, le calcul ou le raisonnement mathématique, l’usage des doigts, le mouvement des yeux, la parole ou le langage.

De quels composants élémentaires ce nouveau geste cognitif est-il formé ? Quelles sont fonctions ou aires cérébrales sollicitées dans ce nouveau circuit d’activation ? Pourquoi cela ne s’est manifesté que sur 1/5e des volontaires ?

Quelques hypothèses…

Cette première étude ne permet pas de répondre clairement, notamment parce que la technique d’EEG (une vingtaines d’électrodes posées sur le crâne) n’a pas un grand pouvoir de résolution. Et l’utilisation de l’IRM fonctionnelle sur quelques volontaires n’a pas apporté d’informations supplémentaires.

Mais les chercheurs ont d’ores et déjà quelques hypothèses, qui serviront de base de travail pour des recherches ultérieures.

Un mélange de concentration et d’affectivité

Selon eux, ce nouveau circuit d’activation cérébrale « reflète la combinaison d’un haut niveau de concentration [peut-être lié à la taille réduite d’un écran de smartphone> associé à une influence affective accrue. »

Il est vrai que l’envoi d’un sms n’est jamais anodin en termes de relations humaines et demande une belle concentration motrice pour réussir à écrire sur un si petit et virtuel clavier…

NE PAS TEXTOTER EN CONDUISANT !

Dans tous les cas, les chercheurs en tirent déjà un enseignement : la mise en évidence de ce nouveau circuit, focalisant les ressources cérébrales, justifierait l’interdiction de l’usage des sms en voiture – activité qui requiert de garder la concentration sur l’environnement.

Il pourrait aussi expliquer pourquoi textoter en marchant n’est pas sans risque pour certains utilisateurs (comme moi) au vu du nombre de poteaux et autres obstacles qui se dressent sur notre chemin urbain.

–Román Ikonicoff

Source :